nicotine-requiem

C'est dans tes cheveux
Que je veux passer mes doigts
C'est sur ton front
Que je veux poser le mien
C'est sur tes lèvres
Que je veux poser les miennes
C'est dans ton cou
Que je veux poser mes bisoux
C'est sur ton torse
Que je veux poser ma tête
C'est dans tes mains
Que je veux loger les miennes
Mais pour le moment
Tu n'es pas là
Je me sens seule
Et un peu perdue
J'ai besoin de tes bras
De tes baisers si doux
Je voudrais que la téléportation existe
Pour passer mes nuits près de toi
Il me tarde de te voir
Mon petit chéri
Je t'embrasse fort
Très très fort.
A bientôt...

J'ai perdu l'envie d'écrire. Je ne sais pas pourquoi, en ce moment, j'ai comme besoin d'avoir mal, ma dose de souffrance, comme d'une drogue de laquelle je serais dépendante jusqu'au fond de moi-même.
Pourtant, à première vue, je devrais allez très bien. Voyez plutôt: J'ai un homme merveilleux, des amis merveilleux, des parents... normaux ( bon OK un peu chiant sur les bords ... ^^). Niveau poids et taille, paraît qu'je suis dans la moyenne.
Mais voila, y quelque chose qui me vient des tripes et je sais pas ce que c'est. A votre avis? Qu'est-ce que c'est et comment m'en débarrasser? C'est p'têtre une appéhension, parce que tout vas justement trop bien, que je sais que ça va un jour
ce terminer.

Ceci est un appel à l'aide.

If  I suffer,
It's my fault.
If I cry,
It is my fault.
It was not necessary that I believe in us.
I'm so happy with you.
I am afraid of the future.
I am afraid to love you.
I would however like.
If you say to me that you appreciates me,
I would believe.
If you say to me that I'm important to your eyes,
I would make ever to keep you.
If not, leave now and do not make me suffer.
Leave now... 

Par respect des personnes concernées, je ne donnerais aucun nom, ces derniers étant représenté par C****** et I*****.  D'autres personnes sont concernées, mais leur prénom ne seront pas cités.
Je suis l'auteur, la narratrice et un des personnages de cette histoire. Je suis représentée par un simple "je"...

lundi 25 avril, 00h04

"Qu'est-ce qui m'arrive? J'ai comme un besoin irrépréssible de tristesse, comme si quelque chose d'insignifiant prenait toute son importance, parce que tout va trop bien.
J'ai eu mal en te voyant l'embrasser tu sais. Un déchirure profonde et foudroyante, voilà, j'ai été frappée par la foudre. J'ai l'impression que j'écris en rêve.
Je suis triste, frustrée ou les deux, plus un petit peu écoeurée. Tout de suite tu as voulu rattrapper le coup...
Je pense déja à te faire lire ces phrases décousues... Je ne sais pas si j'en ai réellement envie. J'aurais aimé que tu le découvre par toi-même. Je me demande pourquoi j'écris au passé car je l'aimerais encore.
J'envie C******. Peut-être parce qu'elle sait que son gars n'iras pas chercher la copine de son pote. En fait, je crois que je suis vexée de ne pas plaire à I*****. N'y vois rien de méchant mais n'est-ce pas légitime pour une gonzesse de 15ans, mal roulée, conne et complexée de surcroît, de savoir qu'elle peut plaire à un autre gars que le sien ( qu'elle se démène pour garder d'ailleurs... et oui la concurence est rude!)
Peut-être qu'à chaque fois que je vais te voir, je vais revoir cette scène... Je ne sais même pas pourquoi je réagis comme ça. Tu ne m'as pourtant pas trompé, merde!
Je me dédouble.
La Marion happy et la Marion sad.Ce soir c'est une rencontre de titans.
Je suis heureuse qu'on soit tous dans le même état d'esprit au niveau des relations entre nos deux couples, mais en même temps ça ne marche qu'entre vous trois. Vous feriez peut-être mieux de rester tous les trois.
C'est con mais j'ai envie de disparaître, pas mourir, mais juste partir en sachant que vous êtes plus heureux sans moi, que je puisse enfin déprimer pénard.
Ce que je vais dire me paraît normal: C****** plaît à 2 mecs et moi j'ai l'impression que je en plaît à personne. Si j'analyse tout ça, c'est juste de la jalousie, pure, simple et dure.
Je voudrais oublier, ne serait-ce qu'une heure, qui je suis et ce que je ressent.
Jai peur de m'accrocher... Serait-ce ça l'amour? Non merci, j'ai déjà donné. Maintenant, ça me fait peur. De toute manière si tu me quittes, ce sera de ma faute. Je ne veux pas que tu me quitte à cause de ce que je viens de dire. Je tiens trop à toi. Ai-je peur? Oui, très. Peur de quoi? De qui? De toi? non.

De moi.

Fin du texte, 00h10

Je tiens à m'excuser au près des administrateurs, auxquels j'ai envoyé un message ou je demandais de l'aide pour ma session. Juste après l'envoie de ce message, ma session a miraculeusement fonctionnée... Chance? Destin? Farce?
Je ne peux que m'excuser encore une fois pour cette malencontreuse erreur. Peut-être n'était-ce qu'un simple " bug " de mon cher et antique PC...
Pour la dernière fois, je m'excuse...

Votre dévouée, nicotine-requiem...